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Ce film métaphorise la société actuelle au travers d'un petit animal attachant voulant ressembler aux autres pour se donner une raison d'exister.
Team:
Tim Winkelmann (PL), 2856 Boécourt (JU)
Typ:
Freizeitprojekt
Kategorie:
Audio/Video
Alterskategorie:
Juniors (12- bis 16-Jährige)
Awards:
Gold Award
Community Award
Ausführliche Projektbeschreibung
"UNLESS..." raconte la triste histoire d'un animal différent de tout ce qui est commun.
A ses yeux, le seul moyen d'exister est de ressembler à quelque chose d'autre, ce qu'il va tenter de faire durant le film, mais en vain.
A bout de force, remettant sa propre raison de vivre en cause, un autre animal arrive vers lui, heureux de le voir. Ce dernier, quoi que lui aussi différent, tente de ressembler au petit animal dépité.
On a toujours des choses à envier à autrui, mais le meilleur moyen de vivre, c'est d'être soi-même, peu importe nos différences et ce que les autres pensent de nous.
Informationen zu den verwendeten Technologien:
"UNLESS…" est un film d'animation 3D créé par ordinateur.
Logiciels utilisés :
Blender
Animation, Rendu, Compositing, Montage
https://www.blender.org/
Gimp
Retouche images/textures
http://www.gimp.org/
Audacity
Enregistrement/Edition audio
http://www.audacityteam.org/
Informationen zur Organisation der Teamarbeit
J'ai réalisé ce court métrage seul, avec l'aide de deux amis pour le scénario et le design des personnages.
J'ai donc été responsable de toute la création du film.
Informationen zu den verwendeten Grafiken, Fotos, Sounds, Videos etc.
La plupart des textures proviennent du site https://pixabay.com/ qui répertorie des images qui sont dans le domaine public.
Les autres textures ont été photographiées par moi-même.
Les bruitages proviennent du site http://sound-fishing.net/.
La musique composée par Kevin Macleod provient du site http://incompetech.com/ et est sous licence Creative Commons (http://creativecommons.org/licenses/by/3.0/)
Modèles 3D additionels :
"Rigged Dog" by Metalix
"Trash Can" by Olivermh
Également sous licence Creative Commons
Tagebuch der Projektarbeit
Ma première idée pour Bugnplay 2016 était assez floue. Je souhaitais faire un film grandiose et photoréaliste, car je n'en avais jusqu'ici encore fait aucun.
N'ayant pas beaucoup de temps pour moi avec mon apprentissage, j'ai commencé à écrire un scénario durant les heures de cours ennuyantes que je devais suivre.
Ayant un scénario qui me plaisait plus ou moins, j'ai commencé à dessiner le storyboard sur un cahier. L'ambiance calme de l'école et les retours instantanés de mes camarades m'ont beaucoup aidé à booster ma créativité.
En novembre 2015, j'ai commencé à créer l'animatic, la version simple du film.
Ne pouvant travailler que chez moi pour cette partie, elle a pris énormément de temps, et ce n'est qu'en fin décembre que j'ai pu commencer l'animation.
Ma motivation pour ce projet commençait à baisser, aussi vite que le temps qu'il me restait pour réaliser le film.
Durant la semaine de vacances de février, j'ai réalisé que pour terminer le film à temps, je devrais bâcler l’animation, qui est ma partie favorite. C'est à ce moment-là que j'ai décidé d'agir : j'ai réuni ma famille et leur ai dit qu'après avoir passé trop de temps sur ce film, je n'étais plus motivé à le finir.
Je me suis alors lancé un vrai défi : réaliser un film complètement nouveau en 1 mois et demi !
J'ai tout d'abord trouvé le modèle de mon héros, qui était dans le domaine libre. J'ai beaucoup aimé son style et je lui ai tout d'abord ajouté des yeux, pour qu'il puisse mieux communiquer ses émotions.
Un ami à l'école m'a convaincu que des oreilles aideraient également beaucoup à l’embellir, et il avait raison.
J'ai commencé à réfléchir au scénario. Je voulais travailler l'animation, la lumière et l'émotion, avec ce court-métrage, et je suis donc parti sur un film métaphorique sur la société actuelle, dans laquelle il faut être « comme les autres » pour être accepté. Ce sujet me touche beaucoup et je pense que c'est également le cas de beaucoup de jeunes de mon âge.
Une amie m'a aidé à améliorer le scénario alors que je commençais à poser les décors du film.
J'avais cette idée de pluie, d'ambiance froide et de musique triste en tête.
Arrivant à la moitié du mois de mars, j'ai du accélérer mon rythme de travail.
C'est du 25 au 31 mars que j'ai le plus travaillé, notamment sur le son et le montage.
Et c'est avec bonheur que j'écris ces lignes le 31 mars après avoir fini mon film. Défi réussi.
Le film a donc été réalisé sur 40 jours.
Il est composé de 3800 images.
Le temps de rendu moyen pour une image est de 40 secondes.
Le temps total de rendu est de 42 heures.
Quand aux heures de sommeil à rattraper, elles ne se comptent plus !